Survivre aux fêtes de Noël : cinq outils parentaux qui facilitent vraiment le mois de décembre

« Offrir du temps et de l'amour est assurément l'ingrédient essentiel d'un Noël vraiment joyeux. » — Peg Bracken

Noël peut être magique : lumières scintillantes, boissons chaudes, moments en famille, une pause bien méritée après la course effrénée des cours. Et pourtant… cela peut aussi se transformer en un véritable chaos : enfants épuisés, parents à bout de souffle, routines bouleversées et attentes très différentes selon les adultes.

En tant que coach parental (et maman de trois enfants), j'ai tout vu : la joie, le chaos, la surstimulation, l'hilarité et les moments où l'on supplie « s'il vous plaît, est-ce que tout le monde peut se taire une minute ? »

Voici les cinq outils auxquels je reviens chaque année — ceux qui rendent nos fêtes de fin d'année plus calmes, plus bienveillantes et plus conviviales.

1. La réunion familiale avant les fêtes

Voici votre point de repère. Dix minutes. Toutes les personnes présentes, même les plus jeunes. Posez trois questions simples :

• Qu'est-ce qui rendrait ces vacances agréables pour vous ?

• De quoi avez-vous besoin pour vous sentir calme et heureux ?

• Qu'est-ce qui pourrait être délicat ?

  
  

Vous pourriez envisager d'inclure des proches ou des compagnons de voyage, ou de tenir compte des besoins différents pour chaque maison (si vous voyagez dans plusieurs endroits). Si vous impliquez d'autres personnes (en dehors de votre famille proche), vous pourriez leur demander : « Quelles sont vos attentes ? Qu'est-ce qui est important pour vous cette année ? » La clarté dès le départ évite les conflits par la suite. Mais ne soyez pas surpris si vos proches vous regardent d'un air un peu étrange : tout le monde n'est pas habitué aux réunions de famille, ni au fait de demander aux enfants ce qu'ils veulent ou ce dont ils ont besoin !

2. Établissez des accords (et non des règles)

Les accords sont collaboratifs, respectueux et fondés sur la question : « Comment pouvons-nous faire en sorte que cela fonctionne pour nous tous ? »

Exemples :

• Temps d'écran : quand et combien

• Rythme matinal : pyjama jusqu'à 10h, d'accord, mais qui prépare le petit-déjeuner ?

• Ranger les espaces partagés

• Visiteurs ou rencontres entre enfants

• Temps calme

• Temps de recharge pour adultes - croyez-moi - c'est ESSENTIEL !

La prévisibilité contribue à apaiser l'esprit de chacun.

3. Prévoir les besoins de chacun

Y compris la vôtre. Surtout la vôtre.

La charge émotionnelle et logistique du mois de décembre peut être énorme. Dressez la liste des besoins de chaque personne :

• Pauses sensorielles

• Mouvement

• Temps seul

• Temps social

• Repos

• Temps passé à l'extérieur

• Les aliments ou les habitudes qui comptent

  
  

4. Prévoyez le cas où les choses tourneraient mal

Ils le feront. Et c'est très bien. Choisissez un « plan de pivot » :

• Un mot de code de pause

• routine de réinitialisation de cinq minutes

• Changement de service

• Abandonner un projet sans culpabilité

• Du thé et une respiration

Flexibilité = santé mentale.

5. Visez la connexion, pas la perfection.

Vous n'avez pas besoin de vacances parfaites. Vous avez besoin de vacances où vous pouvez enfin regarder vos enfants, respirer et profiter d'eux. Le lien se tisse dans les petits moments : lire, cuisiner ensemble, se promener, rire des bêtises.

Avec un peu d'organisation — et beaucoup de flexibilité —, décembre peut ressembler moins à un marathon et plus à une douce (quoique légèrement scintillante) promenade.

Si vous souhaitez de l'aide pour organiser votre propre rythme de vacances — ou des routines adaptées au TDAH pour les vacances — je propose des séances de coaching les mardis et vendredis. Réservez une consultation ici.